Nous le savions, le chef Yoann Caloué a une réelle passion pour les spécialités culinaires transalpines, une passion que nous partageons volontiers avec lui. Fortement ancrée dans ses valeurs gourmandes, la gastronomie italienne offre au chef un de choix de plats aussi délicats qu'élégants. Nous retiendrons aujourd'hui ses gnocchis escortés de crevettes gambero rosso translucides. La recette commence par l’élaboration d’une huile de petit-pois et basilic afin de lier les gnocchis de pomme de terre. Quelques petits-pois écossés, des tomates confites viennent compléter les crustacés, le tout nappé avec parcimonie d'une sauce très concentrée confectionnée avec les têtes de crevettes. L'esthétique de l'assiette très colorée est digne d'une tableau de maître et procure un plaisir visuel et gustatif qu'on voudrait voir durer longtemps. Un plat d'une simplicité apparente mais qui révèle toute l'application, l'inventivité et la technicité du chef. Rendez-vous au Café des Banques.
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[post_excerpt] => Le chef du Café des Banques, Yoann Caloué, nous propose de déguster ses merveilleux gnocchis... en version marine et printanière.
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L’intelligence artificielle a beau s’immiscer sournoisement dans nos vies, l’être humain fera toujours la différence. Qu’on le veuille ou non, impossible de le remplacer ! À cause du récent remaniement de son équipe, le bar restaurant Coin Coin, situé à l’angle de la rue des Bains et du Boulevard Carl-Vogt, en est le parfait exemple. En à peine quelques semaines, cet établissement à la recherche d’une identité s’est vu métamorphosé grâce à la compétence et le talent de nouveaux acteurs prêts à se retrousser les manches pour la noble cause de la restauration. Certes, tout n’est pas parfait mais le meilleur est à venir. Difficile de rester insensible devant cette liberté de créativité.
Sur la carte des vins, la tendance est aux vins natures ; c’est dans l’air du temps. La carte des mets est en mode partage ; c’est dans l’air du temps. Le service est décontracté et bienveillant ; heureusement que c’est dans l’air du temps. Pas besoin de gants blancs ni de couverts en cristal pour se distinguer. Depuis toutes ces années, Pierre Lelièvre l’a bien compris. Cet ancien maître de salle ayant officié, entre autres, à la Pinte des Mossettes, au Fiske Bar ou plus récemment à l’Auberge de Lucinges, connaît aussi bien les subtilités d’un restaurant gastronomique que les codes d’un bistrot. Quelle joie de le retrouver en terre genevoise transmettant ses connaissances et son savoir.
Pour que la mayonnaise de la restauration prenne, un talent ne va généralement pas sans un autre. Du côté des fourneaux, c’est le jeune Valentin Pouzet qui élabore une première carte promise à un avenir culinaire rayonnant. Le pâté grand-mère est délicieux. On voit que le chef a fait ses classes chez le charcutier Verot à Paris. Escorté de poutargue et ciboulette, le carpaccio de sériole est servi dans toute sa simplicité... dénudé de tout artifice. Le chef est passé par les fourneaux de Sylvain Roucayrol, maître de la sphère marine officiant au fameux Tuba Club à Marseille. Tandis que le boudin noir caramélisé est accompagné d’une purée de céleri onctueuse et d’un céleri rémoulade légèrement croquant, le cabillaud, quant à lui, est parfaitement nacré à cœur et se prélasse sur des haricots coco borlotti.
En succombant à la tentation diabolique de la tarte caramel, l’admiration que m’inspire la profession est décuplée. C’est une joie de constater une nouvelle fois que ce sont les femmes et les hommes qui dédient leur vie à ce métier en manque de repère qui font toute la différence. Certains jeunes forcent le respect en refusant de baisser les bras devant les difficultés d’une profession souvent décriée. Il se passe quelque chose de fort, humainement et culinairement parlant, au restaurant Coin Coin. Un seul souhait... pourvu que cela dure le plus longtemps possible. En tout cas, merci !
[post_title] => Un canard surprise
[post_excerpt] => Une nouvelle équipe a récemment investi la salle et la cuisine du bar restaurant Coin Coin. Lorsque jeunesse rime avec justesse.
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Un profil atypique, comme nous aimons rencontrer dans le milieu de la restauration, est ce qui caractérise le mieux Noé Jolivald. Ayant rapidement quitté le cursus classique, c'est en cuisine qu'il va découvrir un univers qui incite à une plus grande prise de responsabilité et où il peut se sentir utile. Il va suivre cette voie jusqu'à ce qu'il devienne chef de cuisine, puis barman avant de découvrir la sommellerie, qui changera sa vie.
À son arrivée à Genève en 2011, Noé Jolivad exerce chez Claude Legras au Floris mais recherche un univers plus sobre et plus proche du client. Il s'oriente alors en tant que serveur dans un petit bar à vin où il va se lier d'amitié avec les clients qui sont de grands amateurs de vin. C'est à 23 ans qu'il découvre cette passion, sans limite ni sans fin.
Noé Jolivald est de ceux qui valorisent la confiance que lui accorde chaque client. Accompagné de Xavier Tanazacq, son associé, il transforme l'ancienne librairie en bar de qualité où, du cocktail à l'assiette, tout est réfléchi. Les papilles sont en émoi ! Alors, vite rendez-vous chez Sauvage du côté de Plainpalais !
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[post_excerpt] => L'épanouissement de toutes les personnalités est possible selon Noé Jolivald, associé fondateur du bar-restaurant Sauvage à Plainpalais
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L’intelligence artificielle a beau s’immiscer sournoisement dans nos vies, l’être humain fera toujours la différence. Qu’on le veuille ou non, impossible de le remplacer ! À cause du récent remaniement de son équipe, le bar restaurant Coin Coin, situé à l’angle de la rue des Bains et du Boulevard Carl-Vogt, en est le parfait exemple. En à peine quelques semaines, cet établissement à la recherche d’une identité s’est vu métamorphosé grâce à la compétence et le talent de nouveaux acteurs prêts à se retrousser les manches pour la noble cause de la restauration. Certes, tout n’est pas parfait mais le meilleur est à venir. Difficile de rester insensible devant cette liberté de créativité.
Sur la carte des vins, la tendance est aux vins natures ; c’est dans l’air du temps. La carte des mets est en mode partage ; c’est dans l’air du temps. Le service est décontracté et bienveillant ; heureusement que c’est dans l’air du temps. Pas besoin de gants blancs ni de couverts en cristal pour se distinguer. Depuis toutes ces années, Pierre Lelièvre l’a bien compris. Cet ancien maître de salle ayant officié, entre autres, à la Pinte des Mossettes, au Fiske Bar ou plus récemment à l’Auberge de Lucinges, connaît aussi bien les subtilités d’un restaurant gastronomique que les codes d’un bistrot. Quelle joie de le retrouver en terre genevoise transmettant ses connaissances et son savoir.
Pour que la mayonnaise de la restauration prenne, un talent ne va généralement pas sans un autre. Du côté des fourneaux, c’est le jeune Valentin Pouzet qui élabore une première carte promise à un avenir culinaire rayonnant. Le pâté grand-mère est délicieux. On voit que le chef a fait ses classes chez le charcutier Verot à Paris. Escorté de poutargue et ciboulette, le carpaccio de sériole est servi dans toute sa simplicité... dénudé de tout artifice. Le chef est passé par les fourneaux de Sylvain Roucayrol, maître de la sphère marine officiant au fameux Tuba Club à Marseille. Tandis que le boudin noir caramélisé est accompagné d’une purée de céleri onctueuse et d’un céleri rémoulade légèrement croquant, le cabillaud, quant à lui, est parfaitement nacré à cœur et se prélasse sur des haricots coco borlotti.
En succombant à la tentation diabolique de la tarte caramel, l’admiration que m’inspire la profession est décuplée. C’est une joie de constater une nouvelle fois que ce sont les femmes et les hommes qui dédient leur vie à ce métier en manque de repère qui font toute la différence. Certains jeunes forcent le respect en refusant de baisser les bras devant les difficultés d’une profession souvent décriée. Il se passe quelque chose de fort, humainement et culinairement parlant, au restaurant Coin Coin. Un seul souhait... pourvu que cela dure le plus longtemps possible. En tout cas, merci !
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À son arrivée à Genève en 2011, Noé Jolivad exerce chez Claude Legras au Floris mais recherche un univers plus sobre et plus proche du client. Il s'oriente alors en tant que serveur dans un petit bar à vin où il va se lier d'amitié avec les clients qui sont de grands amateurs de vin. C'est à 23 ans qu'il découvre cette passion, sans limite ni sans fin.
Noé Jolivald est de ceux qui valorisent la confiance que lui accorde chaque client. Accompagné de Xavier Tanazacq, son associé, il transforme l'ancienne librairie en bar de qualité où, du cocktail à l'assiette, tout est réfléchi. Les papilles sont en émoi ! Alors, vite rendez-vous chez Sauvage du côté de Plainpalais !
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